mercredi 23 février 2011

Présentation cour 5

J’aimerais, pour le projet d’intégration 2011, illustrer la peur de s’intégrer dans la société. En fait, je veux montrer les gens qui se cachent dans l’ombre par peur de faire quelque chose de différent et d’être mal jugés. Je veux représenter avec la photographie ces gens qui sont plutôt gênés et qui ont de la difficulté à s’intégrer alors, ils préfèrent rester dans l’ombre et même s’effacer dans le décor. Ce que je veux que le spectateur voie dans mes photos c’est des photographies floues et étranges où se retrouvent des jeunes femmes qui ont peur de s’affirmer et de prendre de la place. Pourquoi des femmes ? Et bien tout simplement parce que je suis une jeune femme et que ce projet me touche énormément parce que parfois j’ai l’impression que je me cache dans l’ombre et que je ne veux pas m’exprimer ou me faire remarquer. Aussi, c’est surtout parce que je recherche la confiance en moi et mon projet est une sorte de peur d’avoir confiance en soi. Je veux représenter les femmes parce que je comprends beaucoup plus ce qu’elles peuvent ressentir dans des situations de peur et d’angoisse d’être remarqué que des hommes.
Pour les illustrations finales, ce que je veux c’est que les spectateurs ressentent une certaine émotion envers mes futures photographies. Je veux qu’ils les interprètent à leur façon, mais si possible qu’ils comprennent que ces femmes ont peur et se cachent dans l’ombre.
L’inspiration de mon projet final m’est venue de l’artiste Robyn Cumming dont j’ai parlé dans un article précédent. Il vit dans un monde imaginaire et fait de magnifiques photographies. Ce que je veux faire c’est un peu comme lui, mais pour moi ça ne représente pas la même chose. Je veux créer des photographies avec une très bonne résolution et une personne qui s’intègre dans le décor. Je veux que l’actrice se fonde au décor et que le spectateur soit un peu confus face à ma photographie, mais je veux qu’il soit attiré par celle-ci. Ce que par-dessus tout je ne veux pas faire, c’est des représentations presque pareilles à des photographies de cet artiste. Il vit en ce moment à Toronto et ce ne serait que copier si je faisais les mêmes choses que lui. Alors, je veux m’en inspirer en créant mes propres tableaux.
J’ai plusieurs idées de production, mais celle qui m’intéresse le plus c’est de créer de grande photographie numérique disposée l’une à côté de l’autre. Un peu comme dans un corridor de musée où des œuvres sont parfois accrochées l’une après l’autre comme des peintures.
Annie Berthram est une artiste que j’ai découverte il y a peu de temps. Elle consacre ces photographies à un monde imaginaire gothique. Ses photographies m’inspirent parce que j’aime la façon dont elle dispose ses tableaux. J’aime la mise en scène et les décors. Je trouve que cela peut m’aider dans ma recherche puisque malgré que dans les photographies que je veux créer le sujet principal est une jeune femme, le costume et le décor doivent occuper beaucoup de place pour que le sujet se fonde dans le décor. J’aime beaucoup cette artiste qui produit des séries de photographies qui laissent aller notre imagination. On pourrait se construire des histoires à partir de ses séries de photos. La photographie à côté du texte ici, m’inspire puisque j’ai dans la tête un de mes tableaux qui représenterait une femme qui tient un cadre sans image à l’intérieur. Le sujet sortirait du cadre pour essayer de sortir de son cocon et de sa zone de confort.
J’ai aussi découvert l’artiste Ryan Garrison qui produit des photographies à partir de sujet féminin. Ses photos sont plutôt osées d’après moi, mais il y en quelques-unes que je trouve très intéressantes et qui s’apparentent un peu à ce que je veux produire. Il a créé une photographie où le corps humain est caché derrière un voile et une où la femme est cachée par ses cheveux en mouvement et son corps est penché. J’aime bien ce qu’il crée dans ces deux photographies. Pour moi, c’est un peu ce que je cherche à créer, de la compassion pour le sujet.
Peut-être qu’au lieu de mettre les photographies les unes à côté des autres, je vais faire un montage comme Annette Messager. Attachées les photographies l’une aux autres qui se chevaucheront. J’aime bien les assemblages et les dispositions qu’elle fait avec ses photographies. Je trouve très audacieuses ses créations.

Donc, résumons un peu ce que je veux créer. Tout d’abord il y a quelques croquis dans les prochaines pages, mais je vais essayer de vous décrire chaque tableau que j’ai imaginé. Il va falloir que je crée quelques photographies pour ensuite décider comment je les dispose. Peut-être un montage ou une installation, ou seulement mes photographies sur un mur blanc.
J’ai imaginé des femmes habillées en noir sur un fond noir.
J’ai imaginé beaucoup d’expressions par le corps humain.
J’ai imaginé des sortes de tissus qui cachent le visage.
Une femme qui essaie de sortir d’un cadre quelconque.
Un visage de femme cachée par ses propres cheveux.
Une femme assise sur un banc qui est mal à l’aise et son visage est floue.
Une femme cachée derrière un rideau.
Une femme qui se fond dans le décor.
J’ai imaginé une femme qui est aspergée de l’eau.

Des essais...

Mon projet a comme sujet la souffrance intérieure, dont les émotions. Je veux exprimer cette émotion par le médium de la photographie et peut-être de la peinture.
L’artiste Richard-Max Tremblay m’inspire beaucoup, il fait beaucoup de portrait et c’est vers l’autoportrait que m’en vais. Cet artiste est important pour moi puisqu’il fait de la photo de la manière que je veux faire : avec du flou, des photos des gens, des plans rapprochés et l’utilisation de la peinture par dessus la photo.

Le support de mes photos joue un rôle important, puisque je pense mettre mes photos sur un support dur, mais ce ne sera pas de façon alignée. Je veux imprimer mes photos, des différentes dimensions, et ensuite faire des modifications dessus : couper, déchirer, froisser ou bien mettre de la peinture par dessus. J’ai même pensé à faire tenir en place mes photos avec des clous, ce sera plus symboliste de cette façon.

J’ai ici quelques premiers essais photographiques. J’ai essayé de bouger pour en faire du flou et ce qui est sorti de tout cela est un autoportrait, des cheveux rouges qui enveloppent ma face crispée de peine sur un fond blanc. Je trouve que ce genre de photo donne le goût d’en explorer plus, d’essayer plus de choses.
Aussi, pour le moment, je vais essayer d’oublier l’idée de nu en tant que tel. Je veux que le personnage ne soit pas trop habillé non plus, mais qu’il y a un minimum de vêtements possible.




Commentaires et questions:

Finalement, Gilbert m'a illuminé les idées et m'a fait réalisé que ce projet est plus une recherche photographique de l'autoportrait. Je fais des expérimentations et après avoir vu le résultat, je me rends compte de ce que ça dit, ce que cela donne.
Pour l'idée des clous dans les photos, j'avais dit que cela me fait pensé à la souffrance du Christ, alors, la crucification du Christ. Je ne sais pas ce que cela peut donner comme résultat, je ferrais plus de recherches dans les prochaines semaines.
Aussi, le fait que mon personnage n'ait qu'une camisole et elle n'est pas nue, cela représente la pudeur alors, une autre fragilité que je pourrais expérimenter par la photo.
Mon projet se définit de plus en plus et c'est rendu que le sujet principal n'est plus la souffrance, mais la recherche photographique de l'autoportrait de l'artiste souffrant.
Les photos que vous voyez, ne sont que le début d'une expérimentation, elles ne seront pas LES photos principales...


Des commentaires?



Présentation 23 février

Tout d’abord, Le style de production utilisé pour mon projet est une installation vidéo. Plus précisément, une projection vidéo d’un personnage dans un bain. J’ai choisi le bain comme lieu de tournage, pour que le spectateur sente qu’il entre dans l’intimité du personnage. Puis, le bain est un objet pouvant représenter de cercueil. Pour accentuer l’effet funéraire, je vais rajouter des chandelles. Les chandelles seront ma seule source d’éclairage. J’ai encore à préciser ce que seront les actions du personnage et comment je vais l’illustrer. J’ai quelques idées dont je voudrais approfondir :


- Un personnage sans émotion, éteint avec une bouche inexistante ou cousue. La fin de la projection vidéo présentera le personnage libéré. Bref, on pourra voir sur le visage des larmes coulées.

- Un personnage vivant dès le début les émotions, je voudrais présenter la bataille intérieure et aussi l’impossibilité de parler. La réconciliation reste à préciser.

- Un personnage dans le bain et un doublement du personnage, mais toujours de dos à la caméra. Ce qui pourrait représenter en quelque sorte l’après. Bref, le réconfort et le mieux-être. Le personnage de dos pourrait à la fin être face à la caméra et pleurer. comme si le personnage dans le bain représente son passé.

Je sais que le tout reste à préciser. Le thème de la tristesse sera très présent dans mon œuvre, mais je veux aussi illustrer aussi la « bonne » tristesse, celle qui nous réconcilie avec nous-mêmes après avoir eu mal.


Je rajoute en parallèle à la projection vidéo, une bande sonore ou sera enregistrer des cris retenus, une respiration saccadé, la montagne des larmes et ensuite l’apaisement. J’ai d’ailleurs fait des essais dans les derniers jours. Je me suis rendu compte d’une chose, c’est suite à l’écoute de l’enregistrement, j’avais encore plus le désir d’augmenter l’intensité des émotions. Je pense que c’est une bonne idée de m’écouter « pleurer » et m’enregistrer aux mêmes moments. J’adore le résultat des essais, mais je ne sais toutefois pas encore comment je vais conclure cette partie. Puis, je vais devoir aussi vérifier les aspects techniques tels que le format du fichier.


Tout comme la vidéo, j’ai encore besoin de préciser et d’essayer des choses. Je sais précisément ce que je veux illustrer, mais pour le moment, je n’ai pas encore ciblé de manière précise le moyen pour y arriver.


Puis pour bien orienter mon projet je me fixe des éléments à respecter tels que : le personnage situé dans le bain, ne perd jamais le contact avec la caméra. Je pense que de cette manière, je vais peut-être réussir à créer l’inconfort souhaité. Cet inconfort, est un objectif, une cible qui est apparut récemment, mais je pense que c’est central à mon projet. Je vais aussi colorer l’eau du bain.


Ensuite, pour l’habillement du personnage, j’opte maintenant pour un habillement léger, le personnage ne sera pas totalement nu. Je vois peut-être des vêtements de couleurs pastel.

Ensuite, ma liste d’artiste c’est allongée pour ma recherche. J’ai découvert dans les derniers jours : Jean pierre Gauthier, une de ces œuvres est sur les bruits du système digestif et il a créé un mécanisme pour reproduire la respiration. Je vais m’inspirer de cette œuvre, pour recréer ce type de respiration calme et détendue. Puis, une autre artiste, Olga Chagaoutdinova dont j’avais vu son œuvre : « Stom-Ache » me sert aussi de référence. Cette artiste a fait une performance ou elle est filmée recevant sur elles des vagues de grande intensité, qui pour elle représente l’héritage génétique. (Voir image annexe 1) J’adore cette œuvre, parce que l’artiste utilise tout son corps, elle s’y implique entièrement. Je trouve cela remarquable. C’est ce type de projet qui m’intéresse. Je découvre en moi un besoin, celui de faire partie de mon œuvre et d’être impliqué avec ma chair. Je pense que c’est pour cette raison que j’ai choisi l’installation vidéo. L’artiste Bill Viola, m’inspire aussi beaucoup, les vidéo : « White Space et Silent mountain » Ou on y illustre d’une part un personnage enseveli par un liquide et qui semble se débattre, ou du moins réagir à cette inconfort et d’autre part des corps vulnérables (voir annexe 2)



Finalement, mon projet en soit n’aura pas beaucoup d’éléments. Je mise sur deux éléments qui deviennent le pilier de mon œuvre, c’est-à-dire : la bande sonore (cri retenu, respiration saccadé, etc.) et le vidéo (personnage sans parole, bouche cousu ou inexistante). Je réfléchie encore à la conclusion. Je pense bien que l’effet final, pourrait être d’illustrer une harmonie. Bref, le personnage dans la vidéo, qui pleure et la bande sonore un souffle dégagé. Alors dans ce sens, le titre de mon projet : « détresse consumée », a tout son sens.






Olga Chagaoutdinova , Stom-Ache

Bill Viola, Space-White

Bill Vilola, Silent mountain





samedi 19 février 2011

19 février 2011

Cette semaine, j'ai du me "virer de bord" une situation particulière fait en sorte que je n'ai plus accès à la salle de bain (mon lieu de tournage) et de ce fait la personne qui devait filmer. Heureusement, après 3 jours de découragement, j'ai trouvé une solution, mais je dois bien vérifier. C'est à suivre... Malgré les obstacles, je suis déterminé plus que jamais à réaliser ce vidéo. Je le porte en moi, et peu importe ce qu'il arrivera, je vais le réaliser. Les difficultés font parti du "jeu".

Alors, j'ai une piste de solution au cas ou, personne n'est disponible pour me filmer. Si c'est le cas, j'opterai pour un tournage sans coupure, c'est à dire que je laisserais "rouler" la caméra. J'ai l'impression que sa pourrait donner un effet intéressant et d'autant plus intime. J'enlevrais les élements en trop. Bref, les scène que je devrais couper la caméra, sont celles ou je pensais me déplacer. Donc un seul plan, je pense que l'effet final, pourrait ressembler à un journal intime visuel.

Ensuite, une autre "balise" que je me rajoute est de réaliser le tournage du vidéo pendant toute la nuit, ou du moins une bonne partie de la nuit. Pour moi, les émotions viennent plus facilement le soir que le jour étant la vie, la lumière. J'ose croire aussi que la nuit, les barrières de la censure vont tomber.

Voilà, je continue de réfléchir et je pense que je suis sur la bonne voie.

Gilbert, j'ai cherché pour trouver d'autres références artistique. Je me suis rapellé d'une oeuvre d'une artiste qui m'avait particulièrement toucher celle de Olga Chagoutdinova. La description du travail de cette artiste utilise le thème "seuil de l'autoreprésentation". J'ai poursuivi mes recherches pour comprendre, la définition du thème et je ne trouve rien de claire. J'ai l'impression que j'utilise la même approche que Mme. Chagaoutdinova, alors si tu as d'autres références à me donner, moi je vais poursuivre mes recherches. Merci à l'avance

mercredi 16 février 2011

Suite

Mon travail reste le même. Présentement je suis dans la recherche pour approfondir mon thème. Comme vous le savez, j’essaie d’aller vers le manque de confiance en soie. Maintenant je suis presque sur de dirigé mon projet vers les personnes qui reste en retrait et qui se fonde dans le décor. Je voudrais créer des photographies de jeunes femmes qui se fondent dans le décor. Alors, sa créerait pour l’observateur de chercher dans la photographie les sentiments de la personne. Peut être que se serait des photos floues. Ce que je veux créer : des photos sont étranges, alors ont y porte attention. Alors la personne qui se cache dans l’ombre vient de se faire remarqué par celui qui regarde la photo.

dimanche 13 février 2011

Proposition


Le corps à travers la souffrance

1. Quel est l’intention primordiale de votre projet?

L’intention primordiale de mon projet est de montrer la souffrance du corps, la souffrance émotionnelle (intérieur du corps) par la photographie.

2. Vous voulez illustrer, explorer, creuser, montrer quoi au juste?

Je veux explorer le corps, je veux voir jusqu’à où je peux aller avec la photographie et je veux montrer ce sentiment de « mal de vivre », de souffrance, de dépression.

3. Vous avez l’intention d’expérimenter quoi exactement comme recherche.

Le plus grand défi pour moi est de travailler le corps et de pouvoir montrer par la photo ce que je veux montrer. Ce n’est pas facile de montrer une émotion à travers une photo, ce sera bien plus facile –je trouve- si ceci sera fait en peinture. Je veux expérimenter les possibilités infinies de l’édition photographique et la combinaison de la peinture et de la photographie. Je vais aussi essayer d’explorer avec le support, le papier photo, le traitement du papier.

4. Sur quoi allez-vous mettre votre énergie?

La photographie du corps, l’édition et le traitement du papier.

5. A. Comment se présente votre projet?

Je pense présenter mon projet sur un support en bois, ou quelque chose de dur. Je veux qu’on voit les photos déchirées et avec de la couleur par dessus et peut-être même avec des clous dedans pour les tenir sur ce support.

B. Quel est son aspect visuel ou ses aspects visuels.

Je pense pour l’aspect visuel de travailler sur le traitement du papier. Je pense à des photos chiffonnées, mal traités, déchirées, etc. Je pense aussi mettre de la peinture par dessus des photos.

C. Comment se traduit votre intention physiquement.

Je veux mettre mes photos en 2D sur un support dur; ou peut-être en 3D car il y aura des photos qui seront probablement en relief à cause du traitement du papier photo.

D. Les pistes visuelles que vous avez en tête. Les références visuelles, d’autres artistes, références des livres, articles, images, croquis.




Richard-Max Tremblay.

Cet artiste m’a donné l’idée d’utiliser aussi la peinture sur la photographie. En plus d’être juste une photographie, maintenant, avec de la peinture dessus, l’image exprime une nouvelle émotion, ce n’est plus juste une image d’une bouche ou le portrait de quelqu’un.


Serge Clément- Je pense faire de la photo en noir et blanc, alors ses photos me donnent des repères d’utilisation de lumière (comment, où, à quelle place, etc) .


Jean Pierre Séguin

J’aime l’utilisation du corps. Je trouve que la façon dont il utilise le flou décrit bien comment moi je veux utiliser le flou. Ses sujet ont aussi l’air souffrants, alors ses photos m’inspirent.


Sophie Jodoin- J’aime le traitement de la couleur. J’aime que le dessin n’est pas parfait.


Ce que j’aime de cette photo par Sylvie Readman est l’édition. J’aime bien les contrastes et les couleurs, alors je pense utiliser ceci dans mon projet aussi. J’aime aussi les très gros plans qu’elle prend en photo, j’aime le flou sur le traitement de la photo.


6.Quel genre d’expérience voulez-vous offrir, communiquer au spectateur, au jury? Le spectateur doit voir, apprécier, comprendre sentir quoi ?

Je veux que le spectateur aille des frissons en voyant mon projet, je veux qu’il sente quelque chose en regardant mes photos. Je veux transmettre au spectateur ce sentiment de souffrance dont je parle tellement. Je veux qu’il le sente à l’intérieur et qu’il soit ému si possible.




Commentaires en classe:

1- Quand tu parlais de la mise en scène, est-ce que tu veux faire des photos "en studio" ou des photos "sur le moment, instantanées" ?

Quand je veux exprimer une émotion, je suis plus à l'aise à prendre des photos "en studio" que des photos instantanées. Je garde ce genre des photos pour mon propre plaisir de prendre des photos (quand je sors quelque part, des évènements, festivaux, etc).


13 fevrier 2011

Pour cette semaine, je pense que j'ai pas grand chose de nouveau à dire. Sauf un élément central, que j'ai précisé, pendant la mini présentation en classe, c'est-à-dire: je veux faire vivre un état d'inconfort "live"au spectateur, mais aussi un état de bien-être. Bref, faire vivre le rétablissement du spectateur dans une courte période. C'est une piste vraiment importante que je dois absolument tenir compte maintenant et jusqu'à la fin de mon processus.

p.s les photos de mon lieu de tournage vont être sur le blog très bientôt

jeudi 10 février 2011

Le temps d'un souffle

Mon sujet traitant de l’immobilisme, j’ai voulu donc exprimer et définir ce qu’est l’immobilisme plus exactement. Mon intention première est donc de créer une œuvre qui peut illustrer le phénomène qui est selon moi particulièrement intéressant. Au début, ma recherche se trouvait plus centrée sur le phénomène physique de l’immobilisme, donc les exemples illustrant le corps au repos. Mais en creusant plus dans mon imaginaire et après une longue période de questionnement, j’ai pu déterminer d’autres cas d’immobilité que l’on peut retrouver dans la vie. Cette constatation de ces moments kodak que l’on pourrait prendre en photo et garder à jamais l’image d’un univers immobile et paisible m’a conduit à considérer une deuxième signification, cette fois-ci plus abstraite, pour l’immobilisme. On pourrait bien sur parler d’un paysage hivernal ou naturel qui est intouché par l’humain, mais ces moments d’immobilisme se retrouve aussi plus concrètement en société et on une relation directe avec le public. Une des images fortes que je pourrais donnée est par exemple, lorsque l’on regarde Alexandre Despatie s’avancer pour faire son plongeon. À ce moment-là, qui demande beaucoup de concentration pour le sportif, la salle entière est silencieuse et retient son souffle. Un autre exemple serait lors du 11 septembre, au moment après l’impact de l’avion sur la première tour. Poétiquement, on peut dire que c’est l’Amérique entière qui s’est figée d’horreur face à ce spectacle, avant que la panique ne s’installe. Cette fraction de seconde est ce que je recherche à capturer et à donner comme vocation de mon œuvre. Mon intention est donc de pouvoir illustrer un monde silencieux (un de ces moments kodak), mais surtout, de trouver une manière de mettre en scène cet espace. Je veux donc continuer de creuser dans cette direction, afin de trouver d’autre de cas d’immobilisme, mais qui sont plus subtils. Ce qui constituerait le succès de mon œuvre, selon moi, est d’avoir pu trouver ce moment, cette fraction de seconde, qui ferait prendre tout le sens de mon œuvre et qui ferait questionner les spectateurs. S’ils ne se posent aucune question concernant l’œuvre, et bien j’aurai échoué ma mission personnelle.
Ma recherche se concentrera donc sur l’ambiance et les émotions qui sont associés à ma définition de l’immobilisme. L’œuvre en tant que telle ne représentera rien d’autre que ce que le spectateur voudra y voir. Les symboles seront donc aussi un facteur clé dans la réussite du projet, mais il se peut qu’ils ne soient pas directement visibles. Mes exemples ci-dessus ont été mes trouvailles après de longues réflexions, mais je ne sais pas encore s’ils vont pouvoir s’illustrer dans mon projet. Les exemples continueront de venir au fur et à mesure que mon projet s’affinera. Tous mes efforts sont donc actuellement concentrés à trouver cet aspect.
Pour le moment, mon projet avance bien je dirai. Une fois que j’aurai trouvé le petit déclic et ce qui représentera ultimement l’immobilité pour moi, l’œuvre ne servira que de support et incarnera dans mon esprit cette image. Concrètement, je voudrais que mon œuvre prenne place dans une installation, avec au centre une sculpture. Elle représenterait une forme abstraite, car le sens de l’immobilisme est propre à chacun en bout du compte et pourra évoluer sous le regard de différentes personnes. Pour le moment, je n’ai pratiquement aucune idée de la manière dont je rendrais l’ambiance autour de l’œuvre. Je pourrais peut-être afficher, à la manière des musées ou dans un décor de musée (là encore un exemple d’immobilisme pour moi) différentes photos avec les exemples cités précédemment. Pour le moment cet aspect est encore flou et il se pourrait que je décide tout simplement de supprimer l’installation de mon projet, comme les autres éléments sont dans tous les cas secondaires et inférieurs à la pièce maitresse.
Comme ma recherche et la définition de mon œuvre n’était pas complète, je n’ai pas voulu chercher tout de suite l’inspiration chez d’autres artistes et j’ai préféré attendre un peu de pouvoir me centrer sur la voix de mon œuvre. J’ai quelques noms d’artistes en tête, mais c’est surtout au cours de la semaine prochaine que je vais pouvoir approfondir et apporter des éléments visuels pour enrichir mon travail. Je vais pouvoir poster durant la fin de semaine plus en détails, les artistes que j’avais en tête, ainsi que mes pensées sur l’influence qu’auront ceux-ci sur mon œuvre.

mercredi 9 février 2011

Voici ou je suis rendue

Tout d’abord, mon projet porte sur la peur d’oser et d’être différent. Je veux illustrer les personnes qui agissent comme les autres par peur d’être rejetées. J’aimerais représenter les gens qui s’assimilent aux autres, ce qui crée des gens qui se ressemblent. Dans mon projet je veux aller vers une direction qui représente le similaire, un peu comme une armée où tout le monde est pareil. Donc, ce que j’aimerais explorer et définir dans mon projet c’est un sujet qui tourne autour de la peur de sortir de sa zone de confort.

J’aimerais montrer dans mon œuvre que beaucoup de gens ont peur d’être différents ce qui les rends un peu comme des robots, et que parfois ils agissent comme les autres. Ils deviennent un peu pareils parce qu’ils copient l’autre pour ne pas être rejetés. Je veux représenter le genre de personne qui fait comme les autres et reste dans l’ombre par peur de ne pas être accepté. Ont pourrait même dire que ce sont surtout les personne gêné qui agissent de la sorte. Ce que je veux représenter est un monde de confusion et de peur.

J’ai l’intention d’expérimenter la peur de l’inconnu dans mon projet. Je sais qu’il y a des gens qui sont bien dans leur vie, mais qu’ils vont faire comme tout le monde pour ne pas être dans un monde appart. Il y a quand même des gens qui vont avoir peur de sortir de leur cocon et qui vont être comme les autres.

Je veux mettre mon énergie sur la confiance en soi parce que d’après moi, dans la vie ce qui nous fait réussir c’est la confiance en soi. Mon projet c’est un peu une recherche de confiance en moi-même. Je sais qu’il me manque ça et c’est pour cette raison que mon projet me rejoint. Je veux faire quelque chose qui va pouvoir me permettre de sortir de mon cocon et qui va m’aider à comprendre qu’il faut faire ce qu’on aime et à sa façon. Il faut être heureux de notre façon et ne pas regarder le voisin pour lui ressembler. Il faut se concentrer sur soi pour réussir et pour être bien.

Mon projet je l’imagine comme suit :
J’aimerais créer une œuvre en trois dimensions. Une sculpture, mais je ne suis pas encore sûre comment la réaliser. Cette sculpture sera un relief en trois dimensions qui représentera des mains avec le bras. Il y en aura plusieurs placé l’une à côté. Elles représenteront l’être humain dans son intégrité parce que les mains, ceux qui ont le bonheur d’en avoir, sont utiles en tout temps et sont nécessaires pour plein de tâches. Les mains servent aussi à créer pour la plupart des artistes. Alors les mains de mon projet nous feront un peu penser à des mains levées pour avoir la parole ou à des mains qui cherchent à trouver de l’aide. Pour moi les mains représenteront quelqu'un qui cherche à sortir et à s’enfuir. Elles représentent pour moi la recherche du bonheur et la recherche de l’intégrité de soi. Alors pourquoi ne pas créer un relief de main qui cherche à sortir de sa coquille.

J’ai aussi pensé à une autre façon de représenter mon projet. Je vais peut-être faire de la photographie. Je ferais de très grandes photos intrigantes. Je représenterais des personnes qui se fondent dans le décor. Je vois de jeunes femmes avec peu de confiance en elle qui s’effacent puisqu’elles ne veulent pas être différentes et qu’elles ne veulent pas se faire remarquer. Les gens qui disparaissent dans le décor seraient un peu comme les personnes qui ne se font pas remarquer parce qu’elles restent loin des autres. Les personnes ont peur de se faire remarquer et on pourrait même les voir gênées. Alors, mes photographies seraient un mélange de gêne et de confusion dans des portraits de jeunes femmes, peut-être même des hommes. Je trouve que c’est une bonne possibilité de représenter mon projet.

C’est les pistes visuelles que j’ai en tête pour l’instant. C’est ce que je veux représenter, la recherche d’être différent.

Présentation du 9 févier

Courte description de mon projet

Le titre de mon projet, du moins pour le moment, est:"Détresse consumée". Pourquoi utiliser le verbe consumer, parce que je trouve intéressant d'associé la détresse à quelque chose qui se consume, qui brûle, qui disparaît, mais pas totalement. Cette détresse laisse des traces, mais elle peut quand même se consumer et on peu bien vivre avec. Mon intention principale du projet est de créer un vidéo d'art ayant comme thème le rétablissement. Moi, je parle ici d'un rétablissement personnel. Sans entrer dans trop de détails, de ne pas mettre en évidence que j'ai vécue le monopole de la souffrance et de toute manière n'est pas le cas, je ne peux nier que les années débutant l'âge adulte ont été particulièrement difficile.

Dans le vidéo d'art, je veux illustrer la partie très sombre d'un personnage souffrant, mais aussi le plus important, la partie réparatrice. Au début, mon idée était de ne pas intégrer la partie souffrante. Maintenant, je comprends que pour bien comprendre la partie "bien", je dois aussi illustrer, montrer le "mal". Bref, montrer la transition et l'espoir. Mon vidéo en soit est complexe, mais je vais utiliser des symboles simples telle que: la respiration, le corps humains, pour réussir à exprimer pour moi ce qu'est le processus de rétablissement. Mon lieu de tournage est choisi. Je vais tourner dans une salle de bain plus précisément dans un bain et autour du bain. Mon vidéo sera sans parole, il n'y aura que les bruits associé à la respiration, des cris retenus et des larmes. Je réfléchie encore pour que mon rendu (vidéo et bande sonore) soit intégré de manière cohérente et harmonieuse.

Ce que je veux expérimenter dans le vidéo est ma capacité à véhiculer un message clair et précis. À l'intérieur de ma tête, j'ai beaucoup d'idées, plusieurs fois, il m'est difficile de les concrétiser. Pour finir le DEC en beauté, je me permets de travailler sur ce projet intime et de m'ouvrir à vous. Pour le moment, ma source d'inspiration est les vidéos d'art de l'artiste: Bill Viola.

Je garde en tête comme but, de faire vivre un état d'inconfort aux spectateurs et au jury, mais également un sentiment de bien-être suite à l'inconfort. Delà, la notion de rétablissement et la réconciliation. Je doute, quand même, d'y arriver, parce qu'exprimer des émotions autrement que le dire, pis que ça pas l'air du "fake" et que c soit compris, ne sera pas facile. Mon idéal serait que les spectateurs et jury comprennent tout le parcours ainsi que la réflexion derrière ce projet.

Puis finalement, j'espère que chaque personnes qui vont visionner le vidéo ne resteront pas indifférent et qu'ils vont pouvoir se reconnaître du moins quand on a l'impression que la seule chose à faire pour se sentir mieux c'est de crier.

lundi 7 février 2011

suivi..

Je veux créer une œuvre qui représente le manque de confiance en soie. Je veux diriger mon projet sur la peur d’oser et d’être différent. Je veux illustrer les personnes qui agissent comme les autres par peur d’être rejeter. J'aimerais créer une œuvre qui représente les gens qui sont tous pareil. (Pas tous biens sur) Je veux montrer ceux qui ont peur de l'inconnu et qui agissent comme leur voisin au lieu d'avoir confiance et d'être eux même.

Mais maintenant j'ai un petit dilemme. J'ai découvert l'artiste Robyn Cumming qui crée des photos ou des femmes se fondent dans le décor. J’aimerais aller dans sa direction avec la photographie mais en même temps j’ai le gout de faire de la sculpture et de crée un relief de main qui recherche à sortir de leur coquille. Alors, j’ai deux idées différentes, qui restent dans la même idée de mon projet.



Je crois que le choix revient entièrement a moi mais je voulais savoir votre point de vue duquel d’après vous pourrait représenter le mieux le genre de personne qui fait comme les autres et restent dans l’ombre par peur de ne pas être accepter... Je ne sais pas si vous avez des opinions ou des artistes pour m’aider.

dimanche 6 février 2011

Un 2em projet??

J'ai eu un flash et une idée d'un AUTRE projet qui n'aura pas comme sujet la souffrance...

Mais bon. Disons que c'est CLAIR et CERTAIN que je travaillerais le CORPS HUMAIN et peut-être c'est à cause de ça que j'ai eu cette idée pour un 2em projet... (il est plus faible que mon 1er, alors je ne pense pas l'utiliser... mais plutôt m'en servir pour la recherche de mon 1er).


Quand je suis allée à Cuba, en janvier, j'ai vu un merveilleux spectacle aqua-ballet.. Ou quelque chose du genre..(vous verrez les photos...). Ces photos je les trouve inspirantes puisque j'aime comment la lumière frappe le corps, j'aime le flou qu'il y a dans ces photos..
Je vais vous les montrer et vous me diriez quoi que vous en pensez... (OUI OUI j'ai besoin de conseil!!!)






J'ai environ 200 photos comme ceux-ci en mode "pas édités" et ce serait ou de la reproduction en peinture de ces photos, ou de l'édition ou bien de comment je les placerais et dans quel état le papier serait (ex : photos déchirées et mises sur un tableau, froissées, etc)


Des conseils?

P.S. Gilbert, pourrais tu me dire quels artistes travaillent en photo et sur la souffrance S.V.P. ?

Quelques précisions..

Mes points forts sont dans la peinture, la photographie et dans l'édition sur Photoshop ou Illustrator. D'habitude, je travaille mieux seule, mais si jamais je dois être en équipe, je préfère alors être le "chef d'équipe", puisque j'aime avoir les choses en contrôle... Mes points faibles sont dans la production vidéo, l'animation 3D et des fois dans la sculpture.
Je suis plus à l'aise à travailler avec des gens qu'avec des objets. Par exemple, je préfère un portrait à un paysage et un dessin d'après modèle qu'une nature morte. Je suis quelqu'un qui a mille idées en tête mais qui n'arrive pas à juste trouver LES meilleures idées des toutes. J'aime commencer et finir un projet d'un coup que de le faire sur plusieurs semaines, alors ceci sera un défi pour moi de travailler sur ce projet.

Le sujet de la souffrance m'intrigue beaucoup puisque ce sujet me touche personnellement. Puisque j'aime mieux dessiner/ peintre des gens, j'aurais un personnage et puisque je suis plus à l'aise avec le corps féminin que celui masculin, mon personnage serait une femme. La fragilité est souvent représentée par la nudité, alors mon personnage serait nu. Je n'ai pas encore d'idées pour la mise en scène mais j'ai quelques photos inspirantes :







mercredi 2 février 2011

Mon projet se précise 2 février

Aujourd'hui a été une journée très productive. J'ai visionné des vidéos d'art sur internet entre autre de Bill Viola. Ça m'a grandement inspirée. Je reste avec l'idée d'une bande sonore (respiration, cri, larme), mais je reviens aussi avec l'idée de faire un vidéo. La bande sonore sera un plus et je ne pense pas qu'elle soit directement associé au vidéo. En fait, je pense que sa devient une installation audio visuel, (en espérant que ce soit le bon thème). Des sujets ont refaits surface aujourd'hui tel que submersion, silence, étouffement eau, dissociation du corps, récupération, déespoir pour finir avec l'espoir. Pour illustrer, le rétablissement mon vidéo présentera un personnage envahit d'émotions, le personnage se sent étouffé, ne respire pas bien (peut-être même la bouche sera non existante ou du moins bloqué, il sera impossible pour le personnage de parler et il se laisse coulé dans l'eau.

Ah oui, parce que j'ai maintenant l'idée de tournée mon vidéo d'art dans un bain, ou du moins dans un lieu ou il est possible d'illustrer la submersion, l'envahissement de l'esprit. Je n'ai pas trouvé encore comment je vais illustrer les différents étapes jusqu'à la reprise en charge, le mieux être. Mon projet, se veut avant tout un projet d'espoir, qu'après des moments difficiles, il est possible de s'en sortir, recréer une harmonie. Je poursuie mes réflexions.

Maintenant, je me questionne sur jusqu'à ou je suis prête à aller, sortir de ma zone de confort, quel risque je suis prête à prendre, etc. ?

mardi 1 février 2011

Premier jet

Je voudrais parler pour mon projet d’intégration de l’immobilisme. Ce qui me touche le plus est que je suis justement une représentation de l’immobilisme, préférant l’ordinateur au sport. Ainsi, l’ordinateur consomme de plus en plus de temps, en même temps d’aliéner la personne assise devant celui-ci. Cette sorte de rejet de la réalité sert parfois de zone sécuritaire pour la personne dépendante de l’ordinateur. Dans mon cas, c’est plus la lecture (sur internet et dans les livres) qui permet d’oublier et de m’enfermer dans une zone de confort, où j’oublie la réalité et je m’isole dans celle fictive des personnages, en plus de me distraire. Les thèmes abordés tourneront donc plus autour du monde intime, du déni. Le but ultime de mon projet serait d’illustrer cette zone de confort à travers mon œuvre qui représenterait cet état végétatif.
J’aimerais bien sûr que l’œuvre communique avec le spectateur et interpelle celui-ci. Le moyen que je préfère utiliser est l’installation, qu’elle soit virtuelle ou non. L’œuvre reste par contre encore très nébuleuse dans mon esprit. Souhaitez-moi bonne chance, je sens que je vais en avoir besoin.

Intention

Pour le projet d’intégration j’aimerais aller vers une émotion que plusieurs personnes peuvent ressentir. J’aimerai représenter le genre de personne qui est emprisonné dans une routine. Une personne en fait qui a peur d’être différent et qui s’assimile aux autres. Le genre de personne qui a peur du nouveau et d’être différent alors, quelqu'un qui suit la tendance et qui a peur de l’audace et de sortir de sa zone de confort. C’est quelque chose qu’en art les professeurs nous demandent de faire, ce qui me permet de comprendre cette façon d’agir puisque je me suis déjà fait dire qu’en art il ne faut pas avoir peur d’oser. Je veux pouvoir comprendre pourquoi ils y a des personnes qui se referment vers eux même et qui ont peur d’être différent. Je crois que sa peut aussi aller vers le thème de la mode, parce que, d’après moi, si les gens suivent la mode c’est pour être comme les autres et suivre la tendance. J’aimerais créer une œuvre répétitif, surement une sculpture ou peut être de la photographie. Donc, j'aimerait tourner mon projet d'intégration sur les gens qui reste dans l'ombre en faisant comme tout le monde pour ne pas paraitre différent.