vendredi 29 avril 2011
Résultat visuel
Ensuite de la 3e photo jusqu'à la 6e les photos sont mes tests de dosage. Pas grand chose à dire là-dessus (j'ai déjà tout dit dans mon autre post), si ce n'est que l'on perd beaucoup de détail en photo.
Le reste est la représentation de la texture étirée avec sur une structure ratée. On aurait dit un smiley en colère balançant le poing en l'air. Pas vraiment l'effet recherché.
Élément intéressant dans la série de photo: l'influence de la lumière naturelle sur la mousse, qui la rend quasi-transparente. J'aime.
vendredi 29 avril
Enfin, laissons les confessions pathétiques derrière nous et passons aux constats.
ALors comme mentionné plus tôt, la journée n'a pas été satisfaisante. Du côté des modules j'essaie de varier les formes, mais invariablement je me retrouve avec un module tordu, réplique parfaite de mon prototype. Le vide que j'essaie de créer semble trop artificiel. Les autres formes que je suis en train de fabriquer sont aussi difficiles à travailler puisqu'il faut que j'adapte ma recette de texture à chaque forme spécifique.En parlant de textures, je crois qu'étirer la mousse afin d'englober et de recouvrir la structure est mon point de base pour chaque forme. Contrairement à l'autre prototype qui donnait l'effet d'un ''nuage plein'', je trouve intéressant que la mousse soit presque transparente à certains endroits, permettant de voir la structure de métal en dessous. Ceci laisse voir un certain effet de légèreté de fragilité, me rappelant la qualité éphémère du moment Kodak.
Mais de là à produire que des modules de ce type pour mon installation, j'ai un moment d'hésitation. C'est pour ça que je suis en train d'expérimenter pour voir s'il est possible de rajouter la texture bouboule nuageuse à l'équation. Pour le moment les résultats ne me plaisent pas, il faut que je continue d'expérimenter les dosages afin de trouver la manière parfaite d'incorporer harmonieusement la mousse au module. Tout ce problème est un peu l'origine de la frustration ce soir, vu que j'ai l'impression de ne pas avancer. Je planifie alors revenir samedi au cégep pour pouvoir chercher de nouveau un lieu en cas ou mon troisième choix soit encore une fois refusé (ce qui risque fortement d'être le cas si on regarde l'historique de ce qui va bien dans mon projet). En atelier, je vais encore une fois essayer de jouer avec l'élément du vide en altérant physiquement la structure de métal.
Dodo maintenant, j'ai besoin de toute mes forces pour parcourir le dernier 100 mètres.
jeudi 28 avril 2011
Happening
Sinon j'avais promis des croquis de l'installation pour se soir, afin de pouvoir se donner une idée de base.Ça va devoir être reporté à demain soir. Pour le moment, je suis toujours en pleine exploration de la forme ''parfaite'' on va dire. Je fais des formats grandeur nature pour mes modules et je vais probablement décider à ce moment là quelles formes est la plus intéressante par rapport à mon thème. Comme j'ai l'impression de me limiter avec mon prototype actuel, j'essaie de trouver des nouvelles formes autre que la forme organique afin de ne pas réduire mes options. J,espère surtout trouver grâce à ça une nouvelle manière d'aborder ma forme actuelle.
Ça me rajoute une charge de travail puisque je dois faire 12 modules prototype, et ensuite produire ma série finale. Je vais camper à BdeB cette fin de semaine je crois. Je vais probablement décider de l'agencement des modules à la dernière minute, mais je crois que ça va valoir la peine de clarifier et de renforcer mon choix.
Bonne nuit
mercredi 27 avril 2011
réflections 27 avril
En fait, je crois que la rencontre de cet après-midi a été très bénéfique, car le commentaire d’Alex a ouvert une autre possibilité pour mon projet. En ce moment, c’est sur que je suis en train de travailler beaucoup la forme floue et le côté plus abstrait de l’œuvre qui justifient en quelque sorte la forme que prend mes modules, mais je ne peux pas nier ou cacher en quelque sorte le côté moment Kodak qui a été un élément majeur pour le projet. Comme on l’a récemment étudié dans le cours d’art moderne et contemporain, je crois qu’un happening serait vraiment une belle manière concrète afin d’illustrer le moment Kodak de l’œuvre. Ça sortirait du côté trop intérieur de l’œuvre et autre belle surprise, rejoindrait le côté du moment Kodak et le côté de la forme floue et contemplative.
En gros je suis en train de m’organiser pour pouvoir finaliser l’œuvre le lundi, afin de pouvoir directement l’accrocher dans le hall d’entrée de ST-Paul et déjà commencer à prendre des photos. Pour le moment, Gilbert doit voir si les poissons auront le temps de partir et si un étudiant dans le cours d’Anne-Marie utilise le coin des bancs pour faire son installation. En dernier recours, je vais m’adresser à la classe d’intégration pour leur demander de venir prendre des photos le 4 mai. Ça fera un dernier petit souvenir pour tout le monde!
L’objectif du Happening serait donc que l’étudiant peut choisir de photographier l’œuvre, ou d’influencer directement celle-ci en déplaçant peut-être quelques éléments ou en jouant simplement avec l’œuvre. Donc ça me donne en quelque sorte une nouvelle direction pour l’exploration de mes formes, puisque maintenant il y a l’effet de divertissement qui se rajoute à l’équation. Là encore, ça me sort du module prototype que j’ai présenté en classe qui était plus à mon goût que pour d’autres.
Croquis
Voici mes premières esquisses dans le côté contemplatif et complètement abstrait de la forme des modules. En gros ce que j’ai retenu des croquis pour le transférer à la matière c’est la notion de plein/vide, de floue et de zone plus marquée. C’est donc ce que j’ai exploré pour mon prototype. Comme je rajoute la partie divertissement, j’ai donc fait environ 4 séries de 3 modules. Pour l’instant c’est l’objectif que je me fixe. Ensuite viendront les essais d’agencement entre ceux-ci. Pour demain, mes images seront mes différentes expérimentations sur la mousse et sur la broche à poule, ainsi que les différentes formes et aspects de mes autres modules. Pour finir, je vais publier les différents plans d’accrochage des modules.
Titre
Statut de l'oeuvre
Donc pour le moment du côté matériel, j’en suis plus à l’exploration de comment traduire un moment immobile (en le basant sur mon expérience et sur mes absences dans le blogue) ce qui donne en quelque sorte… un rien. Donc mes modules seront principalement informes (qui rejoint la notion de flou) et suspendus dans les airs pour traduire un peu l’irréalité de la sculpture, de représente un moment immobile. Comme dit dans la rétrospective le flou est donc un élément que je travaille sans relâche, mais j’essaie aussi d’explorer la relation qu’il va y avoir entre la mousse et la structure de broche de poule.
Bon un dernier petit article sur une réflection sur mon titre et hop au dodo. Des constats vont suivre mes croquis et éléments visuels demain.
mardi 26 avril 2011
Rétrospective II
Maintenant je crois vraiment avoir trouvé la voie de mon œuvre et surtout la place et qu’occupe la concrétisation physique de ma démarche. Alors, je compte toujours garder la sculpture comme point de départ. Mais la question qui suit ensuite est comment je peux justifier la forme qu’elle va prendre.
En fait quand je regarde mon projet, à cause des divers événements qui sont survenus dans la session je peux carrément voir les différentes étapes par lesquelles je suis passée. Premièrement, il y a l’étape de la définition de l’immobilité qui a duré les premières semaines d’intégration. Pendant celles-ci j’ai pu voir un peu l’étendue des pistes que je pouvais y trouver et disons-le franchement j’ai innocemment voulu tout représenter en une seule œuvre. Ce qui est vraiment, mais franchement, très très très con de ma part. Le résultat que j’en retiens de cette étape c’est surtout l’opposition entre l’immobilité plus naturelle (les paysages) et les moments Kodak (mouvement).
Je suis donc partie à la recherche des mouvements Kodak et donc en quelque sorte du mouvement. Mais on voit tout de suite la difficulté de la représentation du mouvement alors que je fais une sculpture qui est immobile. C’est là où j’ai été coincée et j’ai pris une pause dans le blogue pour de nombreuses semaines, surtout à cause de la nouvelle du cancer de ma mère qui est très agressif et qui sera suivi d’une chimio obligatoirement. Donc je me suis plus centrée sur moi-même afin de gérer la crise et ses conséquences et ai oublié le blogue. Mais bon, j’ai continué de penser à intégration pendant ce temps là. Du côté artistique, malgré le fait que cette voie m’a menée vers un cul-de-sac et que j’ai stagné, j’ai gardé certains éléments en tête. Principalement ça a été pour ma sculpture la forme organique qui ne suggérait peut-être un mouvement, donc pas une forme définie. Les formes de ma sculpture restaient très floues dans ma tête.
Ensuite bon, me rendant compte que je ne pouvais pas garder le moment kodak tel quel pour ma sculpture, je me suis tournée alors vers le côté indéfini et flou de l’œuvre que ça conservait dans mon esprit et une deuxième période d’immobilité dans mon cas est survenu à cause de la disparition de mon amie sans laisser aucune trace autre qu’une famille et des amis morts d’inquiétude et attendant à tout moment de retrouver un cadavre. Le pire c’est que ce n’est même pas un euphémisme. Les chances de survie de mon amie étaient de moins de 5% rendu au 5e jour de sa disparition, vu la manière où on n’avait aucun indice. Franchement je n’ai pas honte de dire que je me suis plus concentrée à essayer d’aider la police dans ses recherches, à mettre des pancartes dans toutes les stations de métro et à consoler mes amis qu’à faire intégration. La situation s’est finalement réglée avec une fin heureuse.
Bon, là encore ça m’a mis très en retard et j’ai donc continué à travailler la notion de flou en essayant de traduire ça en dessin et de le transposer à la sculpture tout en travaillant l’élément nouveau dans le matériel qu’est la mousse. En gros les croquis de demain vont surtout vous montrez le avant/après et où j’en suis rendue suivi d’un article concernant mes observations pratiques de la matière.
En fait, même si je pour le moment je me fais plus une rétrospective à moi-même qu’à vous, je remarque que malgré tous les changements qu’à subit mon projet j’ai beaucoup d’éléments récupérés de mes étapes. Je sens que malgré le parcours chaotique, je n’aurais pas eu le même résultat du tout si ces événements ne s’étaient pas produits et ne m’avaient pas forcée à rentrer dans ma coquille. Quand je regarde ce qu’est rendu mon projet je le trouve beaucoup plus proche de ce que je suis en tant qu’individu que celui du début.
Enfin, il est tard. Je vais probablement me relire et clarifier certains propos, vu qu'il semble que j'ai la tendance à être très difficile à suivre lorsque je parlede mon projet d'intégration
Critique FIFA
FILM DE LA FIFA
Pour ma part durant la semaine de la FIFA j’ai choisi d’aller voir le film réalisé sur le travail et les œuvre d’Olafur Eliasson fait par le réalisateur Henrik Lundø en co-production avec Jacob Jørgensen.
Durant la même représentation se jouait le court métrage The Magnus, que j’ai bien apprécié par sa représentation juste et personnelle de l’artiste (dont j’ai malheureusement oublié de noter le nom) de sa méthodologie lors de son processus de création. Mais bon je ne vais pas m’étendre là-dessus plus qu’il ne faut.
Ce que je trouvais intéressant dans ‘’Space is process’’ était la manière dont le réalisateur a pu couvrir une grande partie de l’œuvre de l’artiste. Le fil narrateur pouvait ainsi se séparer en 3 catégories. En effet, le court métrage débute par une introduction de l’artiste qui s’adressait directement aux spectateurs, puis on passait ensuite au thème de l’œuvre des chutes et enfin d’une rétrospective de certaines de ses œuvres.
Le point négatif du film est que je trouve que l’on n’a pas assez mis d’emphase sur la démarche pratique de l’œuvre principale qui était les chutes de New York. Pour un projet d’envergure tel que celui-ci, il est normal que l’on ne puisse pas tout couvrir, mais le réalisateur nous directement introduit dans son film à la fin de la réalisation de l’œuvre. Ce qui fait que je n’ai pas vraiment pu prendre de note mentale pour m’inspirer de ses projets. Le fil narrateur, comme expliqué en haut, saute aussi beaucoup trop vite pour que l’on puisse se concentrer sur un des aspects que l’on préfère (sa vie, les chutes ou son œuvre en général) ce qui nous laisse un peu sur notre faim en même temps de nous laisser l’impression que le film était définitivement trop long. Je n’ai donc pas pu rester parfaitement concentrer jusqu’à la fin.
Sinon par rapport à intégration, je crois que ça m’a aidé à préciser ma pensée sur le genre d’œuvre et d’impressions que je souhaite laisser sur le spectateur. Le travail d’Eliasson voulait se fondre avec l’environnement et c’est le message fort qu’il voulait nous passer avec le projet de ses chutes. C’est là la grande différence, car ce que je veux reproduire c’est carrément l’impression d’avoir fait un Freeze dans le temps. Je veux que les gens se demandent ce que ça fait là littéralement, dans une aire fréquentée. Que l’œuvre se détache du reste.
lieu de présentation
Lieu de la présentation
Nom: Catherine Benoit
Titre permanent ou temporaire du projet : Le temps d’un souffle
Courte description physique:
ma sculpture sera probablement composée de modules suspendus dans les airs. La dimension des modules peut varier, mais je prévois en faire des très grand. Tout peut changer selon mes expérimentations.
Type d'espace idéal:
J’aurai besoin d’un endroit situé dans une aire ouverte, afin d’isoler en quelque sorte mon projet, mais qu’en même temps le lieu soit assez grand pour ne pas gêner la circulation.
Identifiez des locaux :
L’espace idéal serait dans le coin gauche en face de la salle Hubert-Reeves. Le coin droit ne me gêne pas plus que ça non plus, mais le téléviseur serait dans le chemin. Sinon mon choix se porte dans le hall d’entrée de St-Paul ou dans le vestibule de la bibliothèque.
Précisez les conditions de présentation:
Je n’ai pas besoin de conditions de présentation précise. L’éclairage ambiant peut amplement suffire. Sinon, le seul problème technique sera selon moi l’installation des modules au plafond. J’aurai probablement besoin d’avoir une échelle à disposition.
la reprise
Mention spéciale pour toi julie! botteuse de popotin en chef!
Je me réajuste
jeudi 21 avril 2011
21 avril, plus que quelques jours
Cette semaine, oh quelle semaine ! Je suis tellement fière de ce que j'ai fait et honnêtement, je ne pensais pas qu'ajouter des éléments dans la bande sonore accenturait ou du moins ferait apparaître l'angoisse. Oui parce que, moi maintenant, je la ressens l'angoisse pendant le visionnement. J'espère de tout coeur que vous tous serez touché ou du moins pas indifférents. J'ai énormément travailler et il me reste encore quelques détails au niveau du son à règler. Entre autres, mon son "distorsionne" et pour le moment je n'ai trouvé ce qui cloche. Lors de la prochaine semaine, je vais éffectuer des tests avec le projecteur. Pour ce qui est de la présentation finale du cadre, j'y pense encore, j'ai fait des tests cette semaine et pour le moment ce n'est pas concluant. Je pense que j'ai un vidéo d'une grande valeur du moins émotive et je ne veux surtout rien gâché, alors je prends mon temps pour prendre des bonnes décisions. Puis, pour ce qui est de l'idée de faire le tout dans une performance, je pense que je vais seulement tenir le cadre, je pense que le message sera suffisant pour dire que je le porte, que j'ai été comme le personnage et je ne le suis plus. Je me suis fait un cadeau qui au début de la session, j'avais peur de tomber dans la complaisance. Maintenant, je peux affirmer que non, c'est ma victoire. Désormais, après avoir règlé les derniers détails, je m'en remettrai à vous.
En attendant la présentation du 4 mai, je vous mets une photo ainsi qu'un court texte.
Nom : Julie Pelletier
Titre : « Détresse consumée »
Information technique : installation vidéographique et performance avec son ambiant
Temps : 2 m 40
Participation : Serge Carrier
La description du projet est un vidéo projeté sur cadre de 4 pi x 3pi, le tout porter par une personne. L’ensemble du projet est une explication, subjective et émotive, de ce qu’est ma vision du rétablissement. Pour vivre un rétablissement, il faut vivre la tempête c’est pour cette raison que les scènes sont tournées entièrement dans un bain. Cela va vous permettre d’entrer dans l’intimité du personnage, d’être un témoin, comme une lecture d’un journal intime. Vidéo sans voix, seulement des images et une bande sonore de différents mouvements respiratoires. Le vidéo est divisé en trois parties non égales : l’attente, la crise et l’apaisement. Je vous conseille de respirer.
Voilà c'est tout
mercredi 20 avril 2011
encore des photos
mercredi 13 avril 2011
" Editing " & parlons un peu du Budge$ :)
PRODUITS | PRIX |
ÉPREUVE | |
Portefeuilles | 0,19 $ |
Impression 4x6 | 0,19 $ |
Impression 5x7 | 0,99 $ |
Impression 8x10 | 2,99 $ |
lundi 11 avril 2011
11 avril 2011
Je pense que l'idéal qui peut être réaliste...
Ça c'était hier, aujourd'hui mon idée a pris un autre angle. En fait, je pense que pour continuer avec l'idée de rétablissement de l'appropriation de ma vie. Je pense maintenant à faire partie de mon oeuvre lors de la présentation devant les juges. Je réfléchie présentement à la formule. Étant donné, qu'hier je trouvais intéressant l'idée que mon cadre bouge en même temps que la projection vidéo. J'ai réfléchie et je pense que je vais en faire une chorégraphie. Ces mouvements, déplacements seront très simple et réduits dans l'espace. Bref, une performance me démontrant en train prendre, échapper, porter et assumer mon oeuvre.
Puis, l'idée de portée mon oeuvre est pour moi symbolique d'assumer ce que je suis, donc le rétablissement. Je travaille encore mon montage finale. Je sens que je m'approche de plus en plus de la vérité d'en ce moment (la vérité de ce qui est pour moi le rétablissement). Suite, à mon montage et si j'opte pour la performance, je vais devoir revoir la dimension du cadre.
Finalement lorsque les étapes seront accomplies, je vais devoir faire des tests avec le projecteur pour être bien synchronisé, pour éviter qu'on perde l'image à un moment inapproprié.
jeudi 7 avril 2011
Lieu de la présentation
2: Titre permanent ou temporaire du projet Détresse consumée
3- Courte description physique: Dimensions, quantités, formats, etc, types de présentation
Présentation d’un vidéo d’art sur un cadre/ toile de 75pox 80 po
4- Type d'espace idéal:
Je cherche un endroit fermé. La hauteur des murs m’importe peu, puisque qu’ils ne me serviront pas. Cependant, je dois être capable de placer un cadre de 75po x 80po.Si ce n’est pas possible, je vois très bien mon œuvre à la fin d’un couloir avec deux murs rapprochés, en respectant la contrainte liée à la grandeur du cadre.
5- Identifiez des locaux
Je vois mon projet installé au local A-233
A la fin du corridor 2 étage 3 étage, 4 étage, sous-sol
Dans le local E-207, au fond
Recoin en face du E-105
Salle du fond D-102 à l’audio
Bref, je cherche un fond de couloir et ou un endroit isolé.
6-Précisez les conditions de présentation:
J’ai besoin, le plus que possible, d’un lieu isolé n’ayant aucun meuble, aucun éclairage n’est requis. Je vais avoir aussi de besoin d’un mobile multi-média ainsi qu’un système de son. Puis, l’espace, doit avoir des prises de courants.
mercredi 6 avril 2011
photos en noir et blanc?
Cette semaine j’ai recherché plusieurs façon de disposé mes photographies. Je suis en train de me décider, et je crois que ce que j’aimerais c’est avoir plusieurs photo du même sujet. Comme par exemple la photographie avec le cadre. Je pourrais avoir deux ou trois photo que je choisi de disposé l’une près de l’autre. Sur les images suivantes vous voyez les dispositions qui m’intéressent. C’est sûr que je n’aurai pas une pièce avec quatre mur blanc, mais je crois que je peux arriver à créer quelque chose d’intéressant avec un corridor blanc. Sur deux murs rapprochés, je pense pouvoir disposer mes photographies de façon audacieuse. Tout ce travail je vais le faire à la fin du mois, lorsque toute mes phot seront pris et imprimé.
Voici quelques essais que j’ai faits à partir de mes photographies. Il y a aussi quelque nouvelles photos que je ne vous avais pas montrées. Je suis en train de me demander si mes photos serait mieux en noir et blanc? Je crois que ça donne un impact différent que s’il y avait pleins de couleurs. J’aimerais votre avis, puisque je suis indécise.
Aussi, cette semaine j’ai essayé des tapisseries différentes sur mes photographies. Je n’ai pas pris de nouvelles photos cette semaine, mais j’ai quand même essayé plusieurs modifications sur l’ordinateur pour ne pas prendre de retard.