mardi 26 avril 2011

Critique FIFA

Là encore très en retard mais je crois que ça reste essentiel dans ma réflection la comparaison avec l'oeuvre d'un autre artiste.

FILM DE LA FIFA

Pour ma part durant la semaine de la FIFA j’ai choisi d’aller voir le film réalisé sur le travail et les œuvre d’Olafur Eliasson fait par le réalisateur Henrik Lundø en co-production avec Jacob Jørgensen.

Durant la même représentation se jouait le court métrage The Magnus, que j’ai bien apprécié par sa représentation juste et personnelle de l’artiste (dont j’ai malheureusement oublié de noter le nom) de sa méthodologie lors de son processus de création. Mais bon je ne vais pas m’étendre là-dessus plus qu’il ne faut.
Ce que je trouvais intéressant dans ‘’Space is process’’ était la manière dont le réalisateur a pu couvrir une grande partie de l’œuvre de l’artiste. Le fil narrateur pouvait ainsi se séparer en 3 catégories. En effet, le court métrage débute par une introduction de l’artiste qui s’adressait directement aux spectateurs, puis on passait ensuite au thème de l’œuvre des chutes et enfin d’une rétrospective de certaines de ses œuvres.

Le point négatif du film est que je trouve que l’on n’a pas assez mis d’emphase sur la démarche pratique de l’œuvre principale qui était les chutes de New York. Pour un projet d’envergure tel que celui-ci, il est normal que l’on ne puisse pas tout couvrir, mais le réalisateur nous directement introduit dans son film à la fin de la réalisation de l’œuvre. Ce qui fait que je n’ai pas vraiment pu prendre de note mentale pour m’inspirer de ses projets. Le fil narrateur, comme expliqué en haut, saute aussi beaucoup trop vite pour que l’on puisse se concentrer sur un des aspects que l’on préfère (sa vie, les chutes ou son œuvre en général) ce qui nous laisse un peu sur notre faim en même temps de nous laisser l’impression que le film était définitivement trop long. Je n’ai donc pas pu rester parfaitement concentrer jusqu’à la fin.

Sinon par rapport à intégration, je crois que ça m’a aidé à préciser ma pensée sur le genre d’œuvre et d’impressions que je souhaite laisser sur le spectateur. Le travail d’Eliasson voulait se fondre avec l’environnement et c’est le message fort qu’il voulait nous passer avec le projet de ses chutes. C’est là la grande différence, car ce que je veux reproduire c’est carrément l’impression d’avoir fait un Freeze dans le temps. Je veux que les gens se demandent ce que ça fait là littéralement, dans une aire fréquentée. Que l’œuvre se détache du reste.

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