Suivant un peu ma rétrospective, je vous donne donc un peu plus concrètement je suis rendue à quelle étape. Sur le plan démarche, j’ai remplacé le moment Kodak par l’état surréel lorsque nous sommes immobiles mentalement. Concrètement chez moi ça illustre surtout le moment ou je n’ai pas travaillé intégration. Il y avait une partie de moi qui y pensait énormément, mais rien de tangible ne s’avançait. Donc, le projet prend une autre tournure et donc devient plus contemplatif, un peu à l’instar du paysage immobile, mais vivant qui m’est plus proche, contrairement le moment Kodak auquel je suis moins sensible.
Donc pour le moment du côté matériel, j’en suis plus à l’exploration de comment traduire un moment immobile (en le basant sur mon expérience et sur mes absences dans le blogue) ce qui donne en quelque sorte… un rien. Donc mes modules seront principalement informes (qui rejoint la notion de flou) et suspendus dans les airs pour traduire un peu l’irréalité de la sculpture, de représente un moment immobile. Comme dit dans la rétrospective le flou est donc un élément que je travaille sans relâche, mais j’essaie aussi d’explorer la relation qu’il va y avoir entre la mousse et la structure de broche de poule.
Bon un dernier petit article sur une réflection sur mon titre et hop au dodo. Des constats vont suivre mes croquis et éléments visuels demain.
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